La situation en Haïti est dramatique. Dans la capitale de Port-au-Prince, les gangs armés enlèvent, volent, cambriolent, violent et tuent sans inquiétude. Si le kidnappe des religieux américains a fait les manchettes, les informations en provenance d’Haïti indiquent des centaines d’enlèvements de citoyens-nes de la place depuis un an. Après le tremblement de terre en août, c’est le blocage des réfugiés au Texas par l’administration américaine en septembre, puis les enlèvements en octobre qui font les manchettes internationales sur Haïti.
L’assassinat du président haïtien Jovenel Moïse, mais aussi d’avocats et de journalistes a créé une onde de choc. Les appels à une intervention armée de l’ONU de même qu’à l’aide internationale ne se sont pas fait attendre de la part d’observateurs étrangers et du premier ministre provisoire d’Haïti lui-même, Claude Joseph.
À cela s’ajoute les déboires des personnes migrantes qui ont eu le courage de traverser l’Amérique du Sud partant du Brésil, passant par le Chili et remontant l’Amérique centrale jusqu’aux frontières des États-Unis où ils ont été rebuté par l’administration américaine d’une manière cavalière.
Le climat de terreur règne toujours en Haïti. Ce chaos règne toujours malgré les quelques trois milliards annuellement que la diaspora haïtienne asperge sur la perle des Antilles… Où est-ce qu’on s’en va avec ce phénomène de somalisation ?
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